 |  Sujet: cealan + the damn thing. Sam 27 Juin - 9:41 | |
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ft. nico tortorella Cealan Matneypersonnel  | noms matney, le douloureux nom hérité d'un paternel violent et homophobe. un véritable fardeau repose sur ses épaules et il en est bien malheureux d'avoir grandi avec un tel paternel. prénoms cealan nolyn, deux prénoms si doux et agréable à l'écoute. deux prénoms choisis par celle qui le mis au monde. ce petit être à la peau de bébé, elle l'avait tellement désiré. surnoms tchétché ou cécé pour les plus intimes. lieu et date de naissance il est né ici-même à myrtle beach ce garçon. c'était un vingt-deux décembre, celui de l'année dix-neuf cent quatre vingt dix. c'était un samedi pluvieux, un samedi à demi-heureux. âge si on fait bien le calcul, il va sur ses vingt-cinq ans. un quart de siècle bientôt. nationalité pure souche américaine. origines il a hérité de l'italie par son abruti de père et de l'amérique par sa douce mère. profession il travaille au club comme portier. pas très classe ni très intéressant. statut monétaire plutôt modeste, voir trop ! situation matrimoniale le coeur brisé, le coeur vide. l'âme en peine, on ne sait pas trop en fait. il est discret sur ses sentiments. autre on ne sait pas s'il est plus femme ou homme. avec son infâme de père, il n'ira jamais rien avoué. triste réalité de la vie. crédits gentleheart. à myrtle beach depuis toujours, je suis né ici-même. que penses-tu de myrtle beach cette ville est absolument somptueuse. j'en suis tombé amoureux étant enfant pour sa proximité avec l'océan, ses habitants aimables et le climat estival qui règne constamment. pourquoi ne pas faire parti du country c'est beaucoup trop cher, son simple job lui suffit. il en voit déjà assez, de là où il est. lieu préféré à myrtle beach sûrement la grande roue ou la maison hantée. après tout, à myrtle beach, y a de quoi s'amuser. as-tu entendu parlé de la famille smith et comment ne pas en entendre parler ? je les ai déjà croisé dans le club, les autres employés s'en plaignent à longueurs de journées. dur de passer à côté. |
les questions |  es-tu plutôt pour ou contre le country club ? Pour, parce que sans lui, je vivrais sûrement sous les ponts. Mais grossièrement contre, à cause de tout ses gosses de riches qu'on croise à longueur de journée. Autant vous dire que l'arrivée des Smith et de leurs amis a engendré un sacré remue-ménage. Mais ça fait du bien. Et leurs têtes (de riches) me font rire. Pourquoi les pauvres n'y auraient pas droit, après tout ? une semaine typique, ça ressemble à quoi ? Une longue semaine comme pour beaucoup ici. Quelques jours de repos, un ou deux, ça change tout le temps. En début ou milieu de semaine, rarement en week-end. Parce qu'on sait bien que le week end, c'est rempli. Alors on nous tue à la tâche et les riches nous méprisent pour beaucoup. J'aimerais bien avoir plus de temps pour sortir, mais loin de là, la possibilité ou les moyens financiers. Alors j'économise, sagement. "le travail fatigue même les ânes."  Cealan est un travailleur, il ne rechigne pas quand on lui ordonne des tâches, mais si on lui en demande vraiment trop, il peut pété un câble et vous laissez en plan. Il l'a déjà fait face à certains riches qui se tortillent dans les allées du club et qui ne font que de te demander maintes et maintes choses. A croire qu'on est leur groom. + Il se frotte souvent les cheveux quand il est gêné ou que quelqu'un lui plaît. Étrange ? C'est bien vrai, il est quelqu'un de doux et de romantique. Quand son cœur chavire, c'est irrévocable. + Il regarde souvent les dessins animés, faute de se payer des cinémas ou autres activités plus divertissantes. Il retombe en enfance et ça l'apaise en quelques sortes. + Il s'est découvert un intérêt pour les hommes alors qu'il était au collège. Il était secrètement tombé amoureux d'un type, mais pour lui, ce n'était pas possible de faire son coming out. Avec un paternel homophobe et une mère désormais absente, loin de lui était l'envie. + Sa mère est décédée d'un cancer du sein il y a deux ans. Il était à son chevet tout du long. Amoureux de sa mère, il a toujours été dans les pires moments, devant supporter les remarques de son père. De celui qu'il détestait depuis presque toujours et qui ne lui causait que des malheurs. Il pense encore à sa mère parfois et il l'imagine. Il ne voit désormais plus son père parce que moins il le voit et mieux c'est ! + Il adore les spaghettis, ou les pâtes en général. Quand on est pas bien riche, on fait attention à ce qu'on mange. Spaghettis bolognaise deux à trois fois par semaine, c'est sympa. + Il économise un maximum chaque mois afin de pouvoir mieux vivre. Il aimerait bien claquer ce job au club et en trouver un autre, loin de tout ces riches; mais il n'ose pas de peur de ne pas retrouver et de finir sa vie sous les ponts. |
INK PANTHERS "Pour un plaisir, mille douleurs.” prénom andréa. région bourgogne. âge dix-huit ans. où as-tu trouvé mb ahah. qu'en penses-tu wonderful. smiley préféré  fréquence de connexion tous les jours. scénario ou inventé inventé. un ultime mot love kitty  code bottin - Code:
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<pris>nico tortorella</pris> cealan matney |
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| | Sujet: Re: cealan + the damn thing. Sam 27 Juin - 9:42 | |
| everything's gonna bad my story Le regard dans le vide, tu observes le cercueil de la défunte. Un peu trop d’amertume te monte aux coins des yeux. Tu es là et elle ne l’est plus. Elle s’est fait avoir par ce fichu cancer. Quelques jours auparavant, elle avait cessé de vivre. Elle était partie pour un meilleur monde, en tout cas c’est ce que tu espérais du plus profond de ton être. Tu avais espéré de meilleures funérailles mais l’entente était rompue avec lui. Au moins, tu étais là pour lui dire au revoir. Même si c’était la chose la plus horrible à faire. « Par la résurrection de Jésus, Dieu a détruit la mort pour toujours. Dieu est plus fort que la mort; il rassemblera ses enfants et leur donnera le vrai bonheur… » Tu écoutes le prêtre lamenté ses serments. Une rose rouge dans la main, tu te piques plusieurs fois les doigts avec ses épines. Un peu comme pour libérer ta douleur et ton chagrin. Il parle encore quelques minutes et puis il t’invite à t’avancer et à lui rendre un dernier hommage. Alors tu sors un petit bout de papier de la poche de ta veste et tu trembles de peur, devant tous ses amis les plus proches. « Euh… J’ai préparé un petit quelque chose, mais je ne sais pas si ce sera bien… » Ta voix tremble et ton visage est trempé de larmes. Tu souffles une fois, puis deux et tu abaisses le visage sur ton petit bout de papier. « Elle était la femme la plus sincère, la plus gentille et la plus douce que je n’ai jamais connu… Elle était courageuse et forte. Je n’ai jamais compris d’où lui venait toute cette force. Elle s’est battu jusqu’à la fin. Je sais qu’elle n’aurait jamais voulu nous voir tous ici… le cœur fendu de l’avoir perdu... » Ta gorge se serre et tu peines à respirer. « Elle voulait vivre son plus grand rêve, mais elle n’en a pas eu le temps. Elle voulait partir en safari, découvrir le monde. Je sais aussi qu’elle voulait mon bonheur… mais actuellement c’est elle mon bonheur. Comme ça l’a toujours été. Je l’ai aimé et je ne l’oublierais jamais. Je t’aime maman. » Tu tiens à peine debout, écroué par toute cette douleur qui tiraille chacun de tes membres. Tu poses le regard sur cette rose rouge qui te transperce la peau. Tu viens la déposer, délicatement sur le cercueil. Ce n’est pas un adieu, juste un au revoir. Tu essayes de t’en persuader. Tu espères avoir assez de courage pour revenir régulièrement. Il t’avait fallu quelques mots de soutien de la part d’amis pour réussir à venir jusqu’au cimetière. Et voilà, que c’était déjà la fin.
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