Sujet: MURPHEY + On emmerde ces riches ! Jeu 2 Juil - 11:11
Ma seule après midi de libre dans la semaine. Je ne peux pas la passer chez moi, surtout avec ce temps sublime. Et puis maintenant j'ai un pass pour entrer dans le paradis sur Terre, je ne vais pas me priver après une vie chaotique comme la mienne. J'attrape le strict nécessaire pour survivre là-bas, à savoir uniquement mon téléphone. Je le fourre dans ma sacoche en bandoulière et je sors de chez moi profiter des rayons de soleil. J'enfourche ma bicyclette et je me rend au country club, une personne qui travaille là-bas commence à me manquer et je pense qu'un intermède lui ferait du bien. Enfin arrivée à destination, je présente mon carton et on me laisse pénétrer à l'intérieur du club. Je déboule à l'accueil en signalant une personne que je recherche. Joey Madden, une petite brune délicate. On m'indique les suites de l'hôtel, alors je grimpe les marches deux à deux, fini l'ascenseur, je dois faire travailler mon corps un maximum. Je parcours le long couloir et vois tout à coup une porte entrouverte. J'entre sur la pointe des pieds, Joey est entrain de passer le plumeau. Je saute alors sur le lit encore défait mais fort douillet. La brune se retourne, la bouche ouverte, sûrement surprise. " Bouh ! Tu sai que t'es sexy comme ça " je pouffe alors de rire et lui envoie un oreiller sur les fesses.
Invité
Sujet: Re: MURPHEY + On emmerde ces riches ! Mar 7 Juil - 0:38
on emmerde les riches!
La veille au soir, j'avais enchaîner des heures de taf au bar de ce foutu country club. En rentrant j'avais bien évidemment dû m'occuper des garçons, devoirs, dîner, bain, dodo, puis le ménage de la baraque puisque deux enfants en bas âge ça fout un bordel monstre. Ensuite enfin j'avais pu à mon tour me prendre une douche et me reposer.. Un repos de courte durée puisque même avec une chaleur pareille je devait toujours me lever aux aurores pour assurer mon taf de femme de ménage. Je le faisait de temps en temps, quand il y avait des absences et qu'on m'appelait. Tout fric en plus était bon à prendre, élevé seul deux enfants sans aucune aide financière n'était pas du gâteau. Avec le logement, la bouffe, les fringues et tout le reste, j'aurais bosser comme une acharnée pour que Cody & Hayden ne manquent de rien, mais j'étais bel et bien consciente qu'un jour où l'autre ce train de vie acharner aurait raison de moi. Je ne dormais que très peu, quand j'avais un peu de temps libre pour reposer mes yeux je faisait des cauchemars atroces. Je devais avoir des cernes horribles sous les yeux, mais peux importe. L'important étant que je m'en sortait, pour le moment du moins. J'étais mon propre chef, indépendante et ça me plaisait bien. Bref, je me trouvais dans une énième chambre à dépoussiéré avant de pouvoir faire le reste comme le lit et l'aspi. Mais je fut prise de court par le bruit de quelqu'un venant de se laisser tomber sur le matelas, je me retournais immédiatement, bouche bée pour y retrouver Murphy. « Bouh ! Tu sais que t'es sexy comme ça ! » Un large sourire s'affichait alors sur mon visage quand celle-ci me lançait un oreiller aux fesses, je l'attrapais au vol pour le lui relancer. Je laissait échapper quelques rires avant de répliquer : « L'uniforme me va plutôt bien. » Je fit un tour de moi même en posant tel un top model boudiné dans un uniforme de femme de chambre, puis ris de plus belles. « Qu'est-ce qui t'amène ? En tant que membre, tu n'est pas censée te prélasser à la piscine très cher ? » Tout en lui lançant cette réplique, je continuais tranquillement mon ménage, j'avais encore beaucoup de boulot à terminé.
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Ma seule après midi de libre dans la semaine. Je ne peux pas la passer chez moi, surtout avec ce temps sublime. Et puis maintenant j'ai un pass pour entrer dans le paradis sur Terre, je ne vais pas me priver après une vie chaotique comme la mienne. J'attrape le strict nécessaire pour survivre là-bas, à savoir uniquement mon téléphone. Je le fourre dans ma sacoche en bandoulière et je sors de chez moi profiter des rayons de soleil. J'enfourche ma bicyclette et je me rend au country club, une personne qui travaille là-bas commence à me manquer et je pense qu'un intermède lui ferait du bien. Enfin arrivée à destination, je présente mon carton et on me laisse pénétrer à l'intérieur du club. Je déboule à l'accueil en signalant une personne que je recherche. Joey Madden, une petite brune délicate. On m'indique les suites de l'hôtel, alors je grimpe les marches deux à deux, fini l'ascenseur, je dois faire travailler mon corps un maximum. Je parcours le long couloir et vois tout à coup une porte entrouverte. J'entre sur la pointe des pieds, Joey est entrain de passer le plumeau. Je saute alors sur le lit encore défait mais fort douillet. La brune se retourne, la bouche ouverte, sûrement surprise. " 