+ Jacquouille ! Passe moi la gourdasse, j’ai grand soif !

prénom .littlegirl région quelque part en france âge 23 ans, j'suis vieille où as-tu trouvé mb sur bazzart   qu'en penses-tu Il est superbe! Vous avez fait un travail magnifique au niveau du codage et du design scénario ou inventé inventé fréquence de connexion 5/7 smiley préféré    un ultime mot  

   code bottin
   

Code:

<pris>harvey newton haydon</pris> adriel l. hopkins

   

Qui touche à ma soeur, prend mon poing dans la gueule.

 Tu soupires avant de lever les yeux au ciel. T'es là depuis combien de temps, maintenant? Une demie heure? Une heure? Tu peux pas savoir, parce que ce connard de prof de chimie t'as confisqué ton téléphone pas plus tard que ce matin: Tout ça parce que tu lisais un message que ta meilleure amie t'as envoyé. D'accord elle était juste à côté de toi et aurait pu te le murmurer, ce qu'elle avait à te dire. Mais c'était privé, comme discussion. Donc, sms. Comme d'habitude. Sauf que là, tu t'es fait pincer et voilà que tu t'es retrouvé sans téléphone jusqu'à la fin des cours. Bon ça encore, ce n'est pas le pire. Non, la vraie tempête n'est pas encore arrivée au dessus de ta tronche, même si ça ne saurait tarder..."Adriel!", tu lèves la tête et voit la fameuse tempête arriver à vitesse grand v, perchée sur des talons de dix centimètres et couverte de la tête aux pieds de vêtements de créateurs. Elle est suivie de près par l'orage, en costard noir et aux chaussures qui doivent couter plus qu'un an de salaire d'un travailleur lambda. L'orage - ton père - regarde sa montre qui elle aussi est hors de prix: Il vient à peine d'arriver et ne pense certainement qu'à une chose, se tirer vite fait de ce bahut pourri. Enfin, pourri...C'est quand même un établissement privé, qui garantie une éducation parfaite. Tu parles. Alors qu'ils s'approchent, tu te lèves. Ils sont précédés par le principal, qui a tenu à les accueillir lui-même: Si il pouvait, ce lèche cul aurait aussi fait péter le tapis rouge. Ta mère parait plus surprise qu'énervée, alors que ton paternel, lui, semble avoir la ceinture qui le démange. Tu vas prendre cher à la maison, mais là, tout de suite, t'en a rien à faire. A contre coeur, tu rentres dans le bureau du proviseur et te laisse tomber sur l'un des fauteuils qui font face au bureau. Tout le monde suit ton mouvement, bien qu'ils le fassent de manière plus élégante. Ta mère te lance un regard insistant, essayant de te faire comprendre que tu dois te tenir droit en signe de politesse et de respect. En réponse, tu hausses les épaules. Ils peuvent se le mettre là où il pense, la politesse. "Bien...Nous sommes donc ici pour parler d'Adriel, qui a comme qui dirait...dépassé les bornes aujourd'hui." Tu te retiens de ricaner. Dépassé les bornes. D'accord, tu t'es un peu lâché, mais personne n'est mort, jusqu'à preuve du contraire! Tes parents se tournent en même temps vers toi et tu arques un sourcil. "Quoi? Cet abruti l'avait mérité." Ta mère porte une main à son visage et ton père lève les yeux au ciel: Vous deux, vous avez le même tic lorsque vous êtes lassés de quelque chose. "La violence n'est jamais une solution, fils. Et tu le sais." Merci papa. "Il a insulté ma soeur. Vous savez, votre fille? Alors oui, il se pourrait que j'y sois allé un peu fort, mais au moins il recommencera pas." Le proviseur choisit alors ce moment pour ouvrir sa grande bouche, et répondre: "Mr Jones est à l'hôpital, Adriel. Vous lui avez brisé le nez et dévié la mâchoire. C'est très grave, il va mettre un moment pour récupérer." Là, tu te permets de laisser échapper un léger rire. Ok, tu compatis. Quoi que. Tu n'es pas du genre à aimer la violence et a apprécier le fait de frapper quelqu'un d'autre: Mais tu ne regrette pas, ce coup-ci. "Adriel!", s'exclame ta mère. Ah, elle ne savait pas que c'était à ce point là? "Quoi? Ce connard devrait être content que les autres m'aient empêché de lui casser autre chose." Le principal secoue la tête et se lève, avant de commencer à arpenter la pièce. "Je suis désolé, mais je me vois dans l'obligation de renvoyer Adriel. Temporairement. Et les parents de l'élève qu'il a frappé exigent qu'il vienne s'excuser: Ils ne porteront pas plainte, alors je trouve que c'est un bon compromis." Là, tu hallucines. Toi, t'excuser? Plutôt crever. Ce n'est définitivement pas le genre de la maison. Sentant la colère monter à nouveau en toi, tu inspires un bon coup. Bon sang, tu vendrais ton royaume pour une clope, là, tout de suite. Tu entends vaguement tes parents parler avec le principal, mais n'écoute pas ce qui se dit. En fait, tu en as rien à faire. Toi, tu penses avoir fait quelque chose de bien: Tu as défendu ta petite soeur et c'est tout ce qui compte. Au moins, ça servira d'exemple pour les autres petits malins qui trouveraient ça drôle de traiter une fille de truie en faisant un bruit de cochon quand elle passe près d'eux. Non toi, t'as rien à te reprocher.
   

I broke it. If you were on Twitter you’d know that already.

  Tu te réveilles en sursaut et entend le chien commencer à aboyer devant la porte. Rapidement, tu regardes l'heure: 3h00 du mat'? Qui oserait te déranger pendant la nuit comme ça?! En repoussant les couvertures, tu pries pour que ce soit ta meilleure amie: Sinon tu te verras obligé de casser le nez de quelqu'un d'autre. Ton sommeil, tu y tiens et celui qui ose te le voler va s'en prendre plein la tête: c'est une sorte de compensation. Tu ouvres alors la porte à la volée, ton chiot dans les bras. Et alors que tu t’apprêtes à engueuler et a envoyer royalement chier la personne en face de toi, tu t'arrêtes net dans ton élan. Une seconde plus tard, un corps se plaque contre le tien et te serre fort, presque à t'en empêcher de respirer. Tu reconnais immédiatement ta soeur et répond à son étreinte machinalement. "Hey! Hey, qu'est-ce qu'il se passe? Est-ce que ça va?" Ton coeur se met à battre plus vite et tu sent la panique t'envahir soudain alors que tu te recules d'un pas pour pouvoir la regarder dans les yeux. "C'est Danny...", te répond-elle en reniflant bruyamment. Tu fronces les sourcils, ferme la porte et la conduit vers le canapé. "Eh bien quoi, Danny? Est-ce qu'il t'as fait quelque chose? Réponds! Il t'as fait du mal, ce connard?!" Une colère sourde s'empare de toi et ta soeur attrape ta main pour te forcer à t'assoir près d'elle. Puis elle passe une main sur ses joues pour retirer les larmes qui y coulent. Là, tu te calme un peu et l'aider, avant de plonger tes doigts dans ses cheveux dans le but de les tirer en arrière. "Qu'est-ce qu'il s'est passé?", tu demandes d'une voix déjà plus douce et plus basse. Elle lève les yeux vers toi et souffle. "Il m'as larguée. Sois disant qu'il est trop jeune pour être père, qu'il aurait voulu avoir plus de temps pour profiter de la vie et bla bla bla. Mais le bébé va arriver dans deux mois, Adriel! Comment je vais faire moi, toute seule?" Tu ne dis rien et pose la tête de ta soeur au creux de ton cou avant de la bercer doucement, pour la calmer. Cette grossesse, c'était un accident: Mais il n'avait jamais vu sa soeur aussi heureuse. Puis ce connard de Danny l'était aussi, ça se voyait. Et voilà que ce péteux prend peur et largue sa copine et son enfant à naître? Quel genre de personne serait capable de faire ça, sérieusement?! Là, tout de suite, tu as envie d'aller le voir pour lui expliquer sa façon de penser, mais tu sais parfaitement que ce serait pas la bonne solution. Maintenant tout ce qui compte, c'est ta soeur, et ta nièce. "Non, t'es pas toute seule. J'suis là. J'serais toujours là. Danny est un gros con et il s'en rendra compte un jour ou l'autre, sauf que ce sera trop tard. D'accord?" Elle laisse échapper un léger rire et hoche la tête contre ton cou. "Allez, tu vas squatter ma chambre, le temps qu'on trouve quelque chose de mieux. Ça va aller, tu verras."


"Je rêve, t'as un gosse?" Tu te retournes et voit ta conquête du moment te montrer le paquet de couches qui traîne là. Sur ton lit. Génial. Magnifique. Tu soupires et croise les bras. "Non. C'est celui de ma soeur." Franchement, tu pensais pas que ce serait aussi chiant une femme. Et encore moins un enfant. Parce que oui, tu vis toujours avec ta soeur. Et avec ta nièce, qui est née il n'y a pas longtemps. Un comble pour un gay, de devoir vivre sous le même toit de non pas une, mais DEUX femmes! Mais tu les aime, alors tu peux pas vraiment faire autrement. Puis c'est temporaire, sans parler du fait que tu serais prêt à aller en enfer pour ta soeur. Alors tu te contente de fermer ta gueule et laisser les choses se passer...Mais tu mets également en péril ta propre vie sexuelle: Parce qu'en général, les mecs aiment moyen tout ce qui se rapporte à la paternité. Qu'ils soient hétéros ou gay, tous les hommes sont les mêmes, dans l'ensemble. Certains de tes coups d'un soir ont flippé en voyant les jouets ou alors les vêtements de bébé trainer un peu partout (même si tu t’emploie à tout planquer quand tu sait que tu vas ramener quelqu'un à la maison), alors que d'autres gagatisent complètement et se mettent à te poser des tas de questions sur le bébé. Bref, dans ce cas là comme dans l'autre, tu voit ta nuit être complètement plombée. Tu t'es d'ailleurs juré que plus tard, tu feras exactement pareil pour ta nièce et lui cassera tous ses coups, histoire de te venger! "Je vois" Tu le regarde attraper le paquet de couches et le mettre sur le sol avant de se tourner vers toi. "Quoi? On va tout de même pas faire ça sur les couches. J'suis partant pour pas mal de trucs mais là ce serait glauque." Tu ne peux t'empêcher de laisser échapper un rire avant de t'approcher. Lui tu sent que tu va bien l'aimer.