(perrie) good girls love bad boys

prénom Julie région Alsace âge 17 ans où as-tu trouvé mb Sur Bazzart qu'en penses-tu Il est tellement beau scénario ou inventé Inventé fréquence de connexion 5 jours sur 7 smiley préféré    un ultime mot CAMEMBERT

code bottin

Code:

<pris>willa holland</pris> d. perrie artheron

brother, sisters and father

   « Eh Max ! Arrêtes d'embêter Ella ! » Tu lui mordis le bras. C'était ta seule défense face à sa force qui était énorme comparé à la tienne. Il avait trois ans de plus que toi, et lui c'était un garçon. Tu étais presque complètement démunie face à lui. Le seul moyen de te sortir de ces bagarres entres frères et soeurs était d'appeler ta mère. Ta sauveuse. Mais ce n'est pas elle qui franchit le pas de la porte. Entendant ton appel et les pleurs aigus d'Ella, c'est ton père qui apparût dans le salon. « On se calme tout de suite ici ! » Il ne lui fallut pas plus d'une seconde pour que tu lâches le bras de ton frère, et pour que ce dernier se raidisse tel un piquet sans bouger. Ella était encore trop petite pour comprendre exactement ce qui allait se passer, néanmoins elle n'allait pas tarder à le savoir. « Vous êtes des Artheron. Ce qui veut dire que vous n'avez pas à vous comporter de la sorte, surtout lorsqu'on à des invités aussi prestigieux dans la maison. » Vous baissiez les yeux, évitant le regard de votre père. Tu aurais voulu que ta mère vienne à ton secours, mais pas lui. Lui qui était si imposant, qui te faisais si peur. Tu aurais préféré la douceur de ta mère. Elle aurait obligé ton frère à s'excuser, et elle vous aurait forcé à vous embrasser, puis la dispute serait passée. Mais non. A la place, vous aviez le droit au discours de Monsieur Artheron. Ce discours qui parle d'honneur, de respect et de responsabilités. Parce que vous êtes des Artheron, et pas des ploucs qui se comportent n'importe comment. Vous aviez beau avoir moins de dix ans, à ses yeux, vous deviez être des enfants modèles. Parce que les Artheron devaient montrer l'image de la petite famille riche et parfaite. Toi, tu voulais simplement jouer et faire des bêtises. « Max, dans ta chambre, immédiatement. Tu trouves ça intelligent d'embêter ta jeune soeur ? Elle ne sais même pas encore parler correctement que déjà tu l'impliques dans tes histoires. » Ton frère fila dans sa chambre, la tête toujours baissée, sans dire un mot. Tu savais que ça allait être ton tour. Et tandis qu'Ella continuait à chouiner dans son coin, ton père se mit accroupis, en face de toi et releva ta tête en poussant ton menton vers le haut avec sa main. Il prit une voix calme, mais qui te faisait des frissons. « Danaë. Tu trouves que mordre dans le bras de ton frère est distingué ? Je ne veux pas que tu me fasses honte devant ces personnes, elles sont très importantes pour mon travail. Montes dans ta chambre et n'en descend pas tant que je te l'ordonne, je n'ai pas envie que tu fasses tout rater ! » Tu lui obéis, les larmes aux yeux. Investisseurs, respect, dignité, salaire, rendement, c'était tout ce dont ton père savait parler. Il ne connaissait rien d'autre. Du moins pas en ta présence. Tournant la tête pour voir ce qu'il faisait, tu l'aperçus avec Ella sur ses genoux, en train de lui faire un énorme câlin. Tu te retournais et te dirigeais vers ta chambre silencieuse. Tu aurais tout donner pour qu'il t'apporte ce genre d'attention un jour. Et pourtant, il fallait croire que ça n'arriverait jamais. Comme Max était destiné à être le successeur de ton père, et Ella était sa petite poupée adorée, toi, tu étais la honte de la famille. Pas aussi sage ni mignonne qu'Ella, pas aussi intelligente que ton ainé. Aux yeux de ton paternel, tu n'étais rien qu'un boulet. Et ça, ça te faisait tout sauf plaisir depuis que t'avais eu l'âge de le comprendre.
   

jumping like if you were free

   Videat perferentem apud dominantur hac ita recipiant remedium cautionibus recipiant professio ad quem quem ad excogitatum similia aegritudine omnis ante vel ad omnis ante ad satis similia valeant morborum ad lavacro capite perferentem ad sospitale hac lavacro quoniam aliud quoniam.
   

shaming the family

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living in america

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